Sujet: Sorry Mom, I didn't want let you.. ⎥Elizabeth Dim 4 Juin - 18:37
SPOILER PDC 5 POTENTIEL.
Sorry Mom, I didn't want let you..
EXORDIUM.
Les rues d’Auradon étaient réputées pour leurs architectures incroyablement détaillées. Les bâtiments étaient tous aussi magnifique les uns que les autres, et tous étaient construit à la perfection pour ce qu’il abritait. Aucun d’entre eux ne jurait avec les autres ou avec son utilité. Tout était fait avec une minutie si parfaite que des couleurs jusqu’au choix de l’ornement de chacune des fenêtres, tout était simplement parfait. Peu de temps au paravant, Henry avait fait la connaissance de l’architecte principale de la ville, Elsa Arendelle, et avait eu la chance de pouvoir lui poser quelques questions. Il avait ainsi apprit énormément sur la conception d’un projet, de son premier coup de crayon sur un plan jusqu’à la coupure du ruban à l’inauguration. Elsa était une femme véritablement passionnante, et très intelligente. Bien sûr, elle n’était pas la seule femme derrière chacun des projets, et Jasmine, son associée l’aidait énormément avec les finitions et la décoration. Leur travail passionnait totalement le jeune homme, qui n’aurait jamais su expliquer comme une bâtisse pouvait être faite, et avec quoi.
Il se promenait ainsi, admirant les magnifiques habitations constituant la longue avenue principale de la ville, Main Street. La journée était chaude, et fatiguant pour le jeune homme. Henry avait assisté aux cours jusqu’en début d’après-midi, où il n’eut pas le courage de rentrer directement à sa chambre d’étudiant. La chaleur ne l’encourageait pas à travailler, et si elle ne l’aidait, il ne voulait pas rester allonger sur son lit à regarder le plafond jusqu’à ce que le sommeil le rattrape. Ainsi, il avait décidé de passer une partie de l’après-midi en ville. Il pourrait prendre des photos, et étudier les habitants pour le prochain devoir qu’il aurait à rendre. S’il avait choisit de devenir apprenti journaliste, par moment, Henry aurait préféré avoir beaucoup moins de papier à rendre avant de pouvoir accéder au titre convoité. Son côté aventurier l’avait poussé dans les bras du journalisme pour continuer de découvrir et explorer les choses de ce monde sans avoir besoin de naviguer dans les océans aux côtés de pirates. Si ses parents apprenaient ce qu’il avait fait, il aurait certainement la plus longue punition que l’on pourrait lui donner. C’est pour ça qu’il choisit le journalisme. Ainsi, il pourrait continuer d’être aussi aventureux sans prendre aucun risque.
Depuis son arrivé à Auradon, même si Henry aimait beaucoup la vie qu’il menait, ses parents lui manquaient énormément. Il aimait sa mère et son père bien plus que tout au monde, et de ne pas les avoir avec lui le déprimait un peu plus chaque jour. Il espérait sincèrement que ses parents trouveraient le chemin pour le rejoindre. Ici, ils pourraient enfin avoir une vie heureuse avec ses parents comme il en rêverait depuis tout petit. .
Elizabeth Swann-Turner
Pirate Refoulée
Messages : 26
Poussière de fée : 5066
Métier/Etude : si elle est connue pour être à la tête du tribunal des pirates, elle préfère se qualifier d'écrivaine, laissant sa petite plume rédiger des aventures folles inspirés de sa propre vie.
Sujet: Re: Sorry Mom, I didn't want let you.. ⎥Elizabeth Sam 10 Juin - 8:31
sorry mom, i didn't want to let you...
⇜ code by bat'phanie ⇝
Henry W. Turner
Roméo du Lundi
Messages : 182
Poussière de fée : 5369
Sujet: Re: Sorry Mom, I didn't want let you.. ⎥Elizabeth Dim 11 Juin - 2:26
Sorry Mom, I didn't want let you..
EXORDIUM.
En arrivant à Auradon, Henry avait nourri l’espoir de voir ses parents l’y rejoindre, et d’avoir une vie de famille. Peut-être qu’il était un peu vieux pour les histoires avant de dormir, être border dans le lit, et toutes ces choses que l’on fait avec un enfant. En revanche, il rêvait sincèrement d’être assit à la même table que ses parents, et de leur narrer toutes ses aventures. Certes, il redoutait énormément ce que sa mère et son père penseraient de lui, mais au moins, ils seraient à ses côtés, tous les deux. Plus jeunes, ses amis avaient tous un père et une mère à la maison, et quand on lui demandait pourquoi ce n’était pas son cas, les autres enfants se moquaient de lui parce qu’il était incapable d’expliquer aux autres la malédiction qui les touchait, lui et sa mère. Personne ne pouvait comprendre la tristesse et le manque que causait l’absence de son père. Personne n’arrivait à comprendre la souffrance et la solitude qu’on pouvait ressentir en voyant sa mère pleurer l’absence de son mari. Non, personne n’arrivait à le comprendre. Pourtant, Henry continua d’être l’un de ces jeunes enfants qui continue de croire en un jour meilleur, et qui garde le sourire malgré l’adversité. Rien ne pouvait le mettre à terre. Il avait la force et l’audace de sa mère avec la détermination et le courage de son père. Il s’était fait la promesse de ne pas pleurer, de ne pas céder, et de continuer sa quête jusqu’à ce qu’il parvienne enfin à son but. Son seul, et unique but. Rien d’autre ne comptait vraiment. Il était prêt à tous les sacrifices pour être heureux avec ses parents. Enfin, tous sauf de les perdre. Pour ça, il étudia chacune des légendes maritimes, et tout ce qu’il avait à savoir sur les océans, les mers et les pirates. Il avait tout tenté comme son père l’avait fait. Ignorant la vérité sur ses parents, le jeune Turner s’était jeté à corps perdu dans une quête folle qui aurait pu lui faire perdre la vie bien plus d’une fois.
Seulement, les choses ne s’étaient pas passées comme Henry aurait voulu. Il était arrivé ici depuis déjà quelques temps mais ses parents ne l’avaient pas rejoint. Chaque jour qui passait, le jeune homme espérait les voir à un détour d’une rue, et chaque soir, quand il se couchait, l’espoir de les revoir diminuait un peu plus. Bien qu’il continuait de sourire et d’avancer comme il l’avait toujours fait, Henry priait intérieurement, chaque fois qu’il entendait son nom, que celle qui le prononçait ne serait autre que sa mère. Pourtant, elle n’était pas là, et il le savait. La magie était d’une injustice sans nom, à ses yeux. Jack Sparrow avait souhaité d’arriver ici avec son navire et son compas, et ce fut le cas. Hector Barbossa avait souhaité d’arriver ici avec son bateau et le plus précieux de ses trésors, et ce fut le cas. Pourquoi lui n’avait pas eu le droit d’avoir ses parents ? Il n’a rien qu’il désirait plus au monde que de retrouver sa famille. Ou plutôt, d’enfin avoir le droit d’avoir sa famille avec lui. Il arpentait les rues, la tête remplit de rêve, cherchant une occupation. Le soleil d’Auradon tapait sur sa tête, et la chaleur commençait à lui donner une soif sang nom. Il se dirigea dans la première échoppe qu’il trouva et acheta une petite bouteille d’eau. Il posa la bouteille froide sur son front avant d’en avaler le liquide. Une douce façon d’apaiser la souffrance d’un après-midi trop chaud. Il aurait pu rentrer, s’allonger dans son lit et allumer une de ces machines qui servaient à ventiler de manière très efficace une pièce. Seulement, rentrer, c’était encore être seul, et être seul, c’était se souvenir ce qu’il avait laissé derrière lui et qu’il ne pourrait plus jamais retourner chercher. En d’autres termes, être seul, c’était se souvenir à quel point sa mère lui manquait, et à quel point l’absence de son père le tuait. La solitude était la pire souffrance qu’Henry pouvait ressentir. Lui qui avait une mère si protectrice, et si proche de lui, c’était insurmontable de ne plus l’avoir.
Henry s’était finalement résigné à rentrer quand il entendit son nom, quelque part, dans la marré des habitants d’Auradon errant sur Main Street. Ce n’était pas la première fois qu’il avait l’impression d’entendre cette voix qu’il reconnaissait que trop bien. Il jeta un bref coup d’oeil distrait à la foule. Encore une fois, ce n’était certainement que son imagination. Il baissa la tête, continuant d’avancer, se frayant un passage, petit à petit. L’espoir l’abandonnait une fois de plus quand il entendit son prénom une deuxième fois. Cette fois, la voix était bien plus proche, bien plus net. Henry releva aussitôt la tête, cherchant du regard avant d’apercevoir une femme entrain de courir vers lui. Une femme aux cheveux châtains, et aux yeux de couleur noisette. Une femme dont la voix était si douce qu’elle rappelait à la fois le réconfort et la chaleur d’une douce étreinte. Une femme dont le sourire pourrait faire disparaitre même la pluie et les nuages. Figé sur place, Henry mit quelques instants avant de réaliser que son rêve le plus précieux venait de se réaliser. Sa mère était là, devant lui. Il ne restait plus que quelques mètres qui les séparaient quand le jeune homme se mit à courir, lui aussi, à la rencontre de sa mère. Alors même qu’il ne l’espérait plus, le jeune Turner pouvait enfin serrer sa mère dans ses bras, et sentir de nouveau l’amour qu’elle lui portait. S’il était en âge de quitter la maison, Henry n’était pas encore prêt à couper les ponts avec sa mère, et cette étreinte lui confirma. Il aurait voulu rester là, dans les bras de sa mère, pour toujours. Il ne manquait que son père pour que le tableau soit parfait, mais à cet instant, Henry n’y pensa même pas. La seule chose qui comptait, c’était sa mère. Ils étaient enfin réuni après tant de temps. Un sourire sincère se déposa sur ses lèvres, heureux qu’enfin son souhait le plus cher soit exaucé. La dernière chose qu’il voulait, à cet instant précis, était d’être nouveau séparé de sa mère qu’il adorait et aimait tellement.
En entendant sa mère murmurer, son coeur se brisa. S’il y a une chose qu’Henry ne voulait absolument pas, c’est de causer de la peine et de l’inquiétude à sa mère. Il l’aimait tant que chaque larme qui coulerait sur sa joue à cause de lui, était une lame qui le poignardait en plein coeur. Il pensait qu’aucune souffrance ne pourrait être pire que la solitude, il se trompait. Faire souffrir sa mère était bien pire que d’être seul. A choisir, il préférait passer l’éternité dans une grotte, coupé de tout, que de voir sa mère pleurer. « Je suis désolé. Je m’en veux tellement… Jamais je n’aurai voulu… Je voulais seulement… » Il s’était imaginé une bonne centaine de fois les mots exactes qu’il choisirait à cet instant, et pourtant face à sa mère, aucun ne voulait sortir. Il bégayait, à la fois trop heureux d’avoir retrouvé sa mère et trop triste de lui avoir causé des tords. Il inspira profondément, serrant un peu plus sa maman dans ses bras. « Je suis désolé, maman. Je voulais pas partir comme ça. Je ne voulais pas t’abandonner. Je ne voulais pas que tu t’inquiètes ou que tu sois triste… Je voulais seulement… Je voulais seulement te rendre heureuse, que tu sois fière de moi… »Sa voix se brisa à la fin de sa phrase. Il se détestait intérieurement d’avoir fait souffrir celle qui lui avait donné la vie. Tous ce qu’il avait fait, tous les risques qu’il avait prit, toutes ses décisions, ils étaient tous le résultat de la volonté et la détermination d’Henry de réunir ses deux parents, et de voir sa mère heureuse. Tous ce qu’il avait fait, il l’avait fait pour eux. Il n’avait jamais cessé de penser à eux, et à leur bonheur. C’est la seule chose qu’il voulait.
Elizabeth Swann-Turner
Pirate Refoulée
Messages : 26
Poussière de fée : 5066
Métier/Etude : si elle est connue pour être à la tête du tribunal des pirates, elle préfère se qualifier d'écrivaine, laissant sa petite plume rédiger des aventures folles inspirés de sa propre vie.
Sujet: Re: Sorry Mom, I didn't want let you.. ⎥Elizabeth Ven 16 Juin - 17:20
sorry mom, i didn't want to let you...
⇜ code by bat'phanie ⇝
Henry W. Turner
Roméo du Lundi
Messages : 182
Poussière de fée : 5369
Sujet: Re: Sorry Mom, I didn't want let you.. ⎥Elizabeth Mar 20 Juin - 10:20
Sorry Mom, I didn't want let you..
EXORDIUM.
A cet instant précis, le monde pouvait bien s’écrouler, ça lui aurait été totalement égal. Henry venait de retrouver sa mère, la personne la plus importante de sa vie, la femme qui l’avait éduqué et élevé seule, pour deux. Le jeune homme, en grandissant, avait comprit à quel point la chose avait pu être difficile pour une femme seule d’élever un enfant comme Elizabeth l’avait fait avec lui. A l’époque où ils vivaient, une femme seule avec un enfant, c’était une femme qui avait commit l’adultère, une femme de joie, ou encore une sorcière. Pas une femme bien. Il n’y avait que les veuves qui avaient le privilège de pouvoir passer outre ces reproches, et bien que sa mère se soit justifiée ainsi quand on lui demandé où était le père d’Henry, ce dernier n’était pas sur que dans les esprits, Elizabeth ne soit pas l’une de ses trois catégories de femme. Parfois, il s’en voulait de causer tant de soucis à sa mère par le simple fait de ne pouvoir l’aider à se défaire des préjugés et des bruits qu’on pouvait raconter sur sa famille. Malgré tous, le nom des Swann restait un nom prestigieux, et bien qu’on ne les voit pas comme on les aurait vu quand le grand père du jeune homme était encore gouverneur, un statut était toujours mieux que rien dans un monde où seul les plus puissants ont de l’importance.
Il était tant soulagé d’entre sa mère lui dire qu’elle était fière de lui, qu’il ne put s’empêcher de sourire à nouveau. Et bien qu’elle disait qu’il n’avait pas besoin de se préoccuper d’elle, Henry ne pourrait jamais cesser de vouloir le bien de sa mère et de tout faire pour qu’elle soit la femme la plus heureuse sur cette planète et toutes les autres. C’est ainsi qu’il aimait, Henry. Il ne pouvait faire souffrir quelqu’un qu’il aimait, et ne pouvait cesser de soucier de son bonheur. Il était prêt aux plus grandes folies, par amour, et l’avait déjà prouvé plus d’une fois. D’ailleurs, la plus mémorable reste sans doute celle où il s’était attaché une pierre à la cheville pour se jeter à l’eau, prenant tous les risques, seulement pour voir son père. Certes, il avait grandit depuis, mais son aventure était la meilleure des preuves qu’il n’avait pas changé sur ce point. Peu importe les dangers, peu importe les risques, tant qu’il le faisait pour quelqu’un qu’il aime, Henry était capable de faire l’impossible, et l’inimaginable. Il plongea son regard dans celui de sa mère. La seule chose qui comptait, c’était son bonheur, à elle. Il se l’était répété tant de fois dans sa vie, qu’il avait finit par en convaincre chaque fibre de son corps. La seule et unique chose qui pourrait jamais compter, c’est que sa mère, son père, et les personnes qu’il aime soient heureuses.
Rien n’aurait pu le faire perdre le sourire qu’il avait aux lèvres. Rien, sauf la question que sa mère venait de lui poser. « Je vous en pris, mère, ne vous énervez pas. » Le stresse avait une façon étrange de rendre Henry bien plus cordiale qu’il ne l’était. En prononçant ses mots, il savait très bien qu’il ne ferait que de causer encore plus d’inquiétude, et peut-être même que de causer la colère de sa mère, mais il avait besoin de la mettre en garde pour ce qui allait suivre. Cette histoire n’était pas une histoire simple, ni rassurante. « L’important, c’est que je sois en vie, et en bonne santé, n’est-ce pas ? » Il regarda sa mère mais, en croisant son regard, il ne réussit à le soutenir et baissa la tête. Il savait très bien qu’il avait désobéit. Il détestait la sensation qu’il ressentait quand il faisait quelque chose de mal. C’est sans doute pour cette raison qu’il était un garçon convenable. « Je sais que vous ne vouliez pas, mon père et toi, que je m’engage sur l’océan, mais je vous ai désobéit. Tu as peut-être apprit, d’ailleurs, que je me suis engagé dans la marine, pour la couronne d’Angleterre… Je sais que vous ne vouliez pas que je prenne la mer, mais c’était plus fort que moi, j’avais besoin de voir de mes propres yeux les légendes dont j’ai rêvé toute ma vie… » C’était sans doute la chose la moins dangereuse de cette histoire, et pourtant, il redoutait déjà une mauvaise réaction de sa mère.
Après tout, il était partit sans réellement avoir d’autorisation pour se qu’il allait faire. Il avait seulement attendu d’être assez âgé pour le faire. « Seulement… On n’avait pas un capitaine très agréable et… J’ai essayé de les mettre en garde, mais quand j’ai parlé à notre capitaine, on m’a accusé de haute trahison pour avoir voulu leur dire que notre mort était assurée si on pénétrait dans le triangle… J’étais loin de la vérité. Tu sais, il y a une histoire qui raconte que lorsqu’on traverse ce triangle, on en revient pas vivant, et bien maintenant, je sais pourquoi. Obsédé par l’idée d’attraper une bande de pirate, il a n’en a fait qu’à sa tête, et à continuer tout droit dans le brouillard. Soudainement, on aurait cru qu’on n’était plus en mer. Une ambiance étrange a prit possession du navire, puis ils sont arrivés. On raconte que plusieurs années en arrière, un navigateur espagnol écumait les mers en tuant chaque pirate qui croisait sa route. Le capitaine Salazar. La légende raconte qu’il était immortel. Il l’était, en quelques sortes. Lui et ses hommes sont monté sur notre navire, et ils ont tué tous le monde. Tu sais maman, si je n’avais pas eu cette obsession de retrouver le capitaine Jack Sparrow, je n’aurai peut-être pas survécu… » Comme un flashback, Henry se revit en cellule, Salazar devant lui, plantant son épée dans une des affiches que le jeune homme avait gardé du pirate. Sans elle, il aurait certainement été tué.
Il marqua une petite pause mais ne laissa pas assez de temps à sa mère pour répondre. Il savait très bien que l’idée de retrouver Jack Sparrow était la pire qu’il n’est jamais eu. « L’homme que j’avais face à moi n’était pas un être vivant. Il était mort depuis déjà longtemps. Il n’avait aucun souffle, aucun soupire, aucun battement de coeur qui émanait de lui. Rien. Juste la mort. Son équipage m’encerclait. Et puis, il s’est adressé à moi. Salazar avait pour tradition de toujours laisser un survivant. On était deux en cellule, il m’a choisit parce que j’avais, avec moi, cette vielle affiche promettant une récompense pour la capture de Jack Sparrow. Salazar a sans doute pensé que je le connaissais parce qu’il m’a chargé de le retrouver pour lui dire que les morts étaient à sa poursuite, et que bientôt, il perdrait la vie. Je me souviens plus très bien de la suite, je crois que j’ai seulement dérivé plusieurs heures avant d’arriver dans une petite ville où on m’a soigné et attaché mon lit de soin. A cause des manches déchirées de ma veste, on ne m’a laissé aucune chance de m’expliquer sur les évènements. Je fus nommé traitre. La version qu’on retint fut celle où j’avais fuit le navire en plein milieu d’une bataille. On ne peut faire plus loin de la vérité. Il n’y a eu aucune bataille, juste une exécution massive. Ces pauvres hommes n’avaient absolument aucune chance de survivre face à Salazar et ses hommes… » Ce n’était que le début de l’histoire, mais plus aucun mot ne sortit de la bouche du jeune homme. Henry avait besoin d’entendre sa mère le rassurer avant d’entendre sa colère. Et puis, ainsi, l’histoire se terminait bien. Il avait survécu aux morts, et prit aucun danger, ce n’était pas sa faute.
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: Sorry Mom, I didn't want let you.. ⎥Elizabeth